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COMMENT DIABLE SCELLE SUR FRONT ET MAIN LES HOMMES, FEMMES ET ENFANTS, IMITATION DU SIGNE DU TAV SIGNE DE YAHWEH !? LE TAU GREC SIGNE X OU + !
http://noula.e-monsite.com/pages/protection-biblique/le-signe-du-tav.html
SIGNE DU TAV PROPHèTE EZECHIEL SIGNE YAHWEH, ET SIGNE DE CROIX QUI SCELLE LES CHRéTIENS, SIGNE DE L'INIQUE, VIGILANCE
Le signe du Tav
Le signe du TAV sur le front pour les 144.000,
peuple issus des 12 tribus d'Israël, peuple de YAHWEH, NOTRE ILOHA, NOTRE ILOHIM,
issu de toutes les nations !!!
Histoire
Originellement, le signe de la Croix était probablement fait avec le pouce de la main droite sur le front
ou sur les lèvres.
Ce signe principalement représente le TAV,
la dernière lettre de l'alphabet hébreu,
selon l'accomplissement de la prophétie d'Ézéchiel
concernant la communauté messianique
(Ézéchiel 9:4-6 :
"Passe par le milieu de la ville,
et marque d'un TAV le front des hommes").
Cette lettre pouvait être dessinée,
au début de l'ère chrétienne,
sous la forme autant d'un + que d'un x.
Saint Cyprien de Carthage interprète cette prophétie à partir
de la Croix et de la lettre grecque Tau :
"La lettre grecque Tau, notre T,
est la forme de la Croix que le prophète prévoyait que nous porterions
sur le front." (Adversus Marcionem, III, 22)
Le signe de la Croix est, dès le début du IIIe siècle,
le premier rite d'initiation conféré aux catéchumènes.
Longtemps en Occident,
le signe de la Croix se traçait aussi avec trois doigts,
comme en témoigne les propos du Pape Innocent III
(De sacro altaris mysterio, I, II, chapitre XLV).
Le signe du Tav
Le signe de croix tracé sur le front est
un des rites les plus antiques de l'Eglise.
Saint Basile le mentionne à côté de la prière vers l'Orient,
parmi les traditions non écrites qui remontent aux Apôtres.
La croix doit être tracée avec le pouce sur le front.
Son usage le plus archaïque apparaît
dans les sites baptismaux,
où ce signe est une consécration du baptisé au CHRIST.
Le mot sceau, sphragis, désigne le signe du Tau
inscrit sur le front.
(ATTENTION SIGNE DE CROIX)
Le signe du Tau jouait un rôle dans d'autres sacrements
(la confirmation, l'extrême - onction et l'Eucharistie en particulier),
mais aussi dans la vie de tous les jours pour son aspect de protection,
en particulier contre les démons,
prenant ainsi valeur d'exorcisme.
Si le signe de croix évoque aujourd'hui le gibet sur lequel JESUS CHRIST
a été suspendu, il avait à l'origine une autre signification.
Le livre d'Ezéchiel annonce que les membres
de la communauté messianique seront marqués
au front du signe TAV.
En particulier, les esséniens le portaient au front.
Dans l'Apocalypse, saint Jean indique que les élus seront marqués
au front par le nom du Père.
Or, le TAV, dernière lettre de l'alphabet hébreu,
désigne Yahweh,
Au temps de l' Oint, le TAV pouvait être représenté
par le signe T.
Ainsi le signe de croix dont étaient marqués les premiers frères
désignait pour eux le Nom de DIEU
et signifiait qu'ils Lui étaient consacrés.
En milieu grec, cette symbolique devenait incompréhensible,
c'est pourquoi la croix fut interprétée autrement.
Sous la forme +, elle fut considérée comme une représentation
du supplice de Jésus;
sous la forme X elle fut prise pour
la première lettre du nom grec du Christ.
L'idée fondamentale reste cependant la même :
il s'agit d'une consécration du baptisé au CHRIST.
Les 4 bras de la croix montreront
le caractère cosmique de cette action salvatrice.
Dès le début du IIIème siècle, en Afrique et à Rome,
l'imposition de ce signe constitue traditionnellement
le premier rite de l'initiation conféré aux catéchumènes.
Il est une marque indélébile et sainte de l'appartenance
au Christ.
Que chacun soit attentif à le garder pur.
Saint Cyprien encourageait les martyrs en leur disant :
"Que ton front soit fortifié,
afin que la marque de Dieu soit préservée intacte.
Le même constatait que chez ceux qui n'avaient pas faibli dans la persécution
"le front, purifié par le signe de la croix,
ne pouvait pas souffrir la couronne de satan, mais se réservait
pour la couronne de DIEU.
Les chrétiens avaient ainsi une claire conscience
du fait que
la croix était le signe de leur consécration.
L'épitaphe d'Abercius (160-190?) parle des chrétiens de Rome comme "
du peuple qui a le sceau brillant".
Les disciples du Christ savaient qu'elle était l'arme défensive,
puissante et véritable de leur combat spirituel
contre les tentations démoniaques.
Bien vite, cette signation a accompagné
comme une bénédiction chaque acte de
la vie quotidienne.
Mais le signe de la croix a aussi été compris
comme un exorcisme, une arme offensive pour mettre
en fuite les démons
et montrer la vanité de l'empire qu'ils prétendent
exercer sur ce monde.
Telle était l'expérience des martyrs : les démons ne peuvent pas tenir devant la croix.
Bible Ancien Testament Livre Ezéchiel chap. 9 : 3
Et la gloire de Yahweh d'Israël s'éleva de dessus le Chérubin sur lequel elle se tenait,
pour aller vers le seuil de la maison.
Et (Yahweh) appela l'homme vêtu de lin, ayant un encrier de scribe sur la hanche.
Et Yahweh lui dit : "Passe par la ville, en tout Jérusalem,
et marque d'un signe le front des hommes
qui soupirent
et qui gémissent à cause de toutes les abominations
qui s'y commettent".
Et Il dit aux autres, - et je L'entendais :
"Passez dans la ville après lui et frappez;
que votre œil n'épargne pas et soyez sans pitié.
Vieillard, jeune homme, jeune vierge, enfant, femme massacrez,
exterminez : mais quiconque porte le signe, laissez-le.
Chapitre 10 Et je vis, et voici que sur le firmament, reposant sur la tête des Chérubins,
il y avait comme une pierre de saphir; quelque chose paraissant ressembler à un Trône
apparut au-dessus d'eux. Et il dit à l'homme vêtu de lin : Pénètre entre les roues,
sous les Chérubins; prends à pleines mains des charbons ardents qui sont entre les Chérubins,
et jette (les) sur la ville. Et il y pénétra sous mes yeux.
Or, les Chérubins se tenaient à droite de la maison quand l'homme y alla,
et la nuée remplissait le parvis intérieur.
Et la Gloire de Yahweh s'éleva d'au-dessus des Chérubins pour aller sur le seuil de la maison;
la maison fut remplie de la nuée,
et le parvis était plein de l'éclat de la Gloire de Yahweh.
(Note de bas de page Bible de Crampon
Le Chérubin : l'ensemble du char céleste décrit au chapitre 1.
Le signe, en forme de croix, la dernière lettre (taw)
de l'alphabet hébreu.)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Signe_de_croix
Le signe de croix est un geste rituel consistant pour une personne à porter
les doigts principaux de la main droite (deux ou trois doigts) au front, sur la poitrine,
à une épaule puis à l'autre en murmurant les paroles
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.Amen.
Dessinant sur soi-même une croix, symbole de la Passion du Christ,
cette personne fait profession de foi chrétienne, plaçant sa vie sous
le signe de la rédemption du monde par le Christ1.
Geste très ancien – il remonterait au iie siècle -,
le signe de croix est commun à tous les chrétiens sauf les protestants
et est utilisé en de nombreuses et diverses occasions, sacramentelles (et liturgiques)
ou pas (au début d’un repas ou passant devant uneéglise, par ex.),
en privé ou lors de cérémonies publiques.
Il accompagne toujours une bénédiction religieuse chrétienne.
Symbolique
Le geste de tracer un signe de croix sur le front est un des rites chrétiens les plus antiques2.
La croix, symbole principal du christianisme, est considérée de nos jours comme
l'image du gibet de la crucifixion du Christ, mais sa symbolique est plus ancienne.
Tracer une croix sur le front comme symbole d'appartenance à
la communauté messianique était déjà utilisé comme marque distinctive par les esséniens3.
Il se réfère à une prophétie du livre d'Ézéchiel : Ézéchiel 9:4-6 -
« Passe par le milieu de la ville, et marque d'un signe le front des hommes ».
Les « 144 000 élus » mentionnés dans l'Apocalypse portent également
au front un signe marquant leur consécration à Dieu, qui serait ce Tav3.
Le geste de tracer une croix sur le front avec le pouce était utilisé lors du baptême,
ou tracé usuellement en symbole de protection.
Évolution
Jusqu'au viie siècle, le signe de croix resta en général un geste effectué
sur le front avec le pouce le signe du Tav, qui est la dernière lettre de l'alphabet hébreux,
désigne Dieu à la manière dont l'Oméga le fait en grec.
Cette lettre Tav pouvait, au temps du Christ, être représentée par le signe + ou le signe x.
La façon de se signer a ensuite évolué au fil du temps et des schismes
qui ont séparé les Églises chrétiennes, en un geste plus ample
et intégrant d'autres symboliques2.
À partir du viie siècle, les chrétiens en Orient (le monde grec)
et en Occident (le monde latin) se signent avec trois doigts.
Exactement, comme se signent encore aujourd'hui les chrétiens orthodoxes.
À partir du xiie siècle et le schisme entre chrétiens orthodoxes et catholiques,
le catholicisme fait évoluer le signe de croix
(on ne signe ne plus avec trois doigts mais avec la main), pour les catholiques.
Les orthodoxes continuant de se signer avec trois doigts.
Jésus bénissant avec sa main droite.
Voici comment le pape Innocent III en 1100 s'exprime à ce sujet :
"Le signe de la croix doit se faire avec trois doigts,
parce qu'on le trace en invoquant la Trinité, dont le prophète dit :
Il a soutenu sur trois doigts la masse de la terre4.
Il est tracé de haut en bas, et est ensuite coupé de droite à gauche,
parce que Jésus-Christ est descendu du ciel en terre
et a passé des Juifs aux Gentils.
Certains, cependant, font le signe de la croix de gauche à droite,
parce que nous devons passer de la misère à la gloire, tout comme le Christ
a passé de la mort à la vie, et du séjour des ténèbres au paradis…"
À partir du xiie siècle en Occident donc dans le monde catholique,
on trouve une tolérance à se signer de haut en bas puis de gauche à droite.
Certains auteurs critiquent cette évolution, mais la hiérarchie de
l'Église catholique ne la condamne pas.
Mieux, petit à petit, la pratique de la signature de gauche à droite s'impose,
et elle devient la norme.
Les catholiques se signant de haut en bas puis de droite à gauche sont considérés
comme étant dans l'erreur. Sous le faux concept, que la signature doit être faite
de gauche à droite comme dans les temps antiques.
Église catholique et Église orthodoxe
Jean-Paul II trace le signe de la croix en bénissant
un évêque.
Pour les chrétiens orientaux (orthodoxes et catholiques), le geste consiste
à toucher successivement
avec les trois doigts de la main droite (pouce, index, majeur),
le front, la poitrine, l'épaule droite puis l'épaule gauche.
Le front symbolise l'esprit, la poitrine le cœur, l'épaule droite
l'action dans la justice, et l'épaule gauche la miséricorde qui tempère la justice.
Les trois premiers doigts (pouce, index, majeur) réunis ensemble
pour symboliser la Trinité
(Un seul Dieu en trois personnes :
Père, Fils et Esprit Saint), les deux autres doigts repliés
contre la paume de la main, pour symboliser
les deux natures (humaine et divine) du Christ5,6.
Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement,
du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite, le front,
la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.
Les signes de croix de droite à gauche et de gauche à droite coexistaient
en occident au moyen âge, avec divers sens symboliques, le second s'étant finalement
imposé avec le temps7. De la même façon, l'usage orthodoxe consistant à répartir
les doigts en deux groupes (trinité, dualité) s'est perdu avec le temps,
pour des raisons néanmoins plus obscures8.
Le signe de croix se fait en prononçant les paroles suivantes :
« Au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. Amen
(ou Ainsi soit-il, jusqu'au concile Vatican II pour les catholiques9).»
et marque l'adhésion à la foi et
au mystère de la sainte Trinité,
c'est-à-dire l'unité de trois personnes en un seul Dieu :
Père, et Fils (= Jésus) et Saint-Esprit.
Il rappelle en même temps la mort du Christ sur la croix, sa résurrection
et la profession de foi trinitaire.
Les catholiques le réitèrent souvent, et les orthodoxes encore plus souvent.
Chez les catholiques :
- à l'entrée des églises, après avoir trempé le bout de l'index et du majeur dans l'eau bénite,
- qui rappelle, à titre symbolique, le lavement des Hébreux avant d'entrer
- dans la tente du Rendez-vous où se trouvait l'Arche d'alliance,
- durant les 40 ans de pérégrination dans le Désert et surtout le baptême
- qui les a introduits dans l’Église.
- dans le cadre de la liturgie, pour marquer certaines étapes ou pour accompagner
- une bénédiction qu'ils reçoivent,
- pour ouvrir ou pour conclure une oraison comme la prière quotidienne en famille
- ou le benedicite avant un repas,
- dans les moments importants de la vie, par exemple en assistant à un décès,
- il arrive que des personnes se trouvant en présence de manifestations présumées
- diaboliques fassent ce signe pour marquer leur fidélité à la lumière divine
- et rejeter l'esprit du mal.
Chez les orthodoxes :
- Devant et à l'entrée d'une église ou près d'une croix.
- On peut se signer trois fois de suite en l'honneur de la Trinité.
- Pendant la liturgie, notamment à l'évocation du nom de Dieu.
- Pendant la prière, les oraisons et les bénédictions
Églises issues de la Réforme
Les Églises issues de la Réforme l'utilisent avec parcimonie.
Toutefois, son usage est plus intense dans les courantsluthériens,
par exemple, après avoir reçu la Sainte Cène.
Bien que le signe de croix soit antérieur au Concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns
des Réformateurs et, est totalement absent de la plupart des formes du protestantisme.
Depuis la Réforme, il a été rejeté par les protestants et quelques anglicans « Basse Église »
comme étant une pratique catholique romaine, et cela en dépit de la vision positive
qu’en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune
et le code de droit canonique anglican de 1604.
Luthéranisme
Parmi les luthériens, la pratique du signe de croix a été majoritairement retenue.
Par exemple, dans le Petit Catéchisme de Luther, il est recommandé avant
les prières du matin et du soir. Le luthéranisme n’a jamais abandonné cette pratique
et elle était encore très présente dans les cultes jusqu’au début du xixe siècle.
Après une période pendant laquelle il tomba en désuétude,
le signe de croix a repris sa place dans les célébrations sous l’impulsion
du mouvement de renouveau liturgique des années 50-60.
Les rubriques dans les manuels contemporains de liturgie luthérienne
comme l'Evangelical Lutheran Worship10, le Lutheran Service Book11,
le Lutheran Book of Worship12 et le Lutheran Worship13 prescrivent le signe de croix
à certains moments de la liturgie à l’instar de la pratique catholique romaine.
L’usage dévotionnel du signe de croix parmi les Luthériens est manifeste
au moment de la réception de l’Eucharistie et au moment de l’absolution.
Certaines paroisses ont même rétabli l’usage de l’eau bénite pour se signer à l’entrée des églises
Méthodisme
Les Églises méthodistes épiscopales, telles que l’Église méthodiste unie, sont essentiellement liées,
à ce sujet, à la position historique méfiante de la Réforme protestante14.
Bien que le signe de croix soit moins fréquent dans une liturgie méthodiste
que dans la messe catholique, les livres liturgiques en mentionnent son utilisation.
L’usage privé du signe de croix reste à la discrétion de chaque méthodiste,
pour la prière personnelle par exemple, et a été encouragé
par les évêques de l’Église méthodiste unie.
Quelques Églises méthodistes aujourd’hui usent du signe de croix avant et après
la réception de l’eucharistie et quelques pasteurs se signent à la fin de leur prédication.
Cela est en partie lié à la réintroduction de la liturgie du Mercredi des Cendres
avec l'imposition des cendres par un signe de croix15.
En France, seule la Mission méthodiste épiscopale de France,
de tradition anglicane « Haute Église », conserve les usages traditionnels
du signe de croix.
Évangélisme
La plupart des courants évangéliques ne l'utilisent pas du tout.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie_%C3%A9vang%C3%A9lique
Théologie évangélique
Étant donné que le christianisme évangélique n’est pas constitué en Église et n’a pas de hiérarchie statuant
sur la doctrine, on ne peut lui reconnaître de profession de foi qui serait officiellement représentative.
Néanmoins, on observe parmi les divers courants et dénominations évangéliques
une unité quasi infaillible sur les points suivants. Il faut saisir que, dans la visée évangélique
ou de la foi évangélique, ceux-ci sont constitués avec une volonté déclarée d’être fidèle aux écrits bibliques.
Ces points de profession de foi sont très souvent soutenus par des passages bibliques
et en général par une interprétation transversale de ce que la Bible déclare sur un de ces points de profession de foi.
Sommaire
- 1 Autorité de la Bible
- 2 Trinité
- 3 Résurrection
- 4 Jugement dernier
- 5 Le Plan de Salut
-
Trinité
Point que l’on retrouve dans presque tous les courants principaux du christianisme, selon lequel le Dieu unique, éternel et personne est éternellement présent et révélé dans trois Personnes divines, à savoir, le Père (Dieu Tout-puissant), le Fils (ou « Fils unique » – littér. μονογενης,monogénès, « unique engendré » ; Jésus-Christ) ; et l’Esprit Saint (ou « Souffle Saint »). L’ancrage insistant des évangéliques dans les écrits bibliques les font certes différer du catholicisme en ce qu’ils ne tiennent à justifier ce credo que sur base de passages ou concepts bibliques et non sur la Tradition ou les conciles (sachant que la naissance de ce dogme est souvent rattachée au concile de Nicée qui eut lieu au début du ive siècle). Cette conception trinitaire de Dieu porte à diverses conséquences dans la foi chrétienne évangélique :
- Jésus-Christ est, considéré comme "Dieu fait homme" – pour le dire grossièrement. C’est un objet de foi ferme que Jésus-Christ n’est qu’une manifestation charnelle de Dieu, et qu’il a existé de toute éternité (surtout év. selon Jean, 1:1-3). En effet, il est considéré comme la Parole (ou Verbe, ou encore Logos) de Dieu faite chair, c'est-à-dire son Expression même par excellence,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_(symbole)
Symbolique religieuse
Son usage en tant que symbole religieux remonte beaucoup plus loin
que l’époque du Christ et n’est donc pas d’origine chrétienne.
Cela montre que la croix des Chrétiens est déjà universelle avant même l'arrivée de Jésus.
On en a un exemple dans la très ancienne religion indienne.
Dans les grottes d'Elephanta,
on peut voir une croix au-dessus de la tête d’un personnage.
Dans une autre peinture ancienne, le dieu Krishna est représenté
avec six bras dont trois tiennent une croix.
Dans d’autres pays, la croix était également révérée dans l’Antiquité et on lui attribuait
des pouvoirs mystiques.
Une encyclopédie (Cyclopædia of Biblical, Theological, and Ecclesiastical Literature)
fait l’observation suivante : « On trouve le signe de la croix comme symbole sacré
chez plusieurs nations de l’Antiquité que l’on peut en conséquence qualifier (…)
d’adeptes de la croix. (…) Le symbole de la croix semble avoir eu les significations
les plus variées. Parfois, il renvoie au phallus [utilisé dans le culte de l'amour],
d’autres fois, à Vénus, déesse de l'amour. »
Religions amérindiennes
Quand les conquistadors espagnols envahirent les Amériques, ils furent surpris
de découvrir des croix à usage religieux dans de nombreux endroits.
Dans l’ouvrage Curious Myths of the Middle Ages, l’auteur Baring-Gould écrit :
« Dans l’État d’Oaxaca [Mexique], les Espagnols s’aperçurent que l’on avait érigé
des croix de bois comme symboles sacrés. (…)
En Amérique du Sud, ce même signe était considéré comme symbolique et sacré.
Il était révéré au Paraguay.
Au Pérou, lesIncas honoraient une croix sculptée d’une seule pièce dans le jaspe. (…)
Les Muyscas de Cumana croyaient que la croix (…) était dotée du pouvoir de chasser
les esprits mauvais ; en conséquence, on plaçait les enfants nouveau-nés sous sa protection.
» C'est cette sacralité du symbole de la croix qui explique
que les Amérindiens ne se défendirent pas lorsqu'ils virent arriver les Espagnols
qui brandissaient des croix pour prendre possession de ces nouveaux territoires
au nom du Christ.
Symbole chrétien
La croix n’était pas un symbole utilisé par les premiers chrétiens,
car ils craignaient que ce symbole soit un signe qui les livre plus rapidement
encore aux terribles persécutions romaines qui ont ensanglanté
les premiers siècles du christianisme.
Le livre Records of Christianity déclare :
« La croix n’était pas franchement employée dans la décoration des églises. (…)
Le premier symbole du Christ a été le poisson (iie siècle)
car en grec "poisson" s'écrit : IXΘYΣ, ou ichthus, acronyme dont les lettres constituent
les premières lettres de Iêsous Christos Theou Uios Sôtêr,
c’est-à-dire Jésus Christ, de Dieu le Fils (Fils de Dieu), Sauveur.
De plus le poisson, comme tout bon Chrétien, a toujours les yeux ouverts et est
le seul animal dont la croissance ne s'arrête jamais, à l'image de la foi du Chrétien.
Sur les premières tombes sculptées,
il est aussi représenté sous les traits du bon berger (iiie siècle). »
J. Hall (dans son Dictionary of Subjects & Symbols in Art) écrit également :
« Après la reconnaissance de la chrétienté par Constantin le Grand,
les Chrétiens ne craignant plus les persécutions et encore plus à partir du ve siècle,
la croix commença à être représentée sur des sarcophages [cercueils de pierre],
des lampes, des coffrets et d’autres objets. » Sir Wallis Budge ajoute
(dansAmulets and Talismans) :
« La croix ne devint pas le principal emblème et symbole de la chrétienté
avant le ive siècle. »
Celle qui est la plus utilisée dans la chrétienté aujourd’hui, est la croix latine,
c’est-à-dire la forme de l'instrument de torture en bois où fut cloué Jésus-Christ.
On utilise une véritable croix pour de nombreux rites.
La messe catholique ne peut avoir lieu que si un crucifix est présent sur l'autel du sacrifice.
La croix est également portée lors des pèlerinages,
des rassemblements (cf. la croix des Journées mondiales de la Jeunesse qui rassemblent
tous les trois ans des millions de jeunes) et lors de cérémonies religieuses.
La croix est aussi le signe d'affirmation des catholiques lorsqu'ils le dessinent sur
leur corps au moyen de la main droite en faisant le « signe de croix ».
Ce geste très courant et répété au cours de chaque messe.
C'est une profession de foi gestuelle qui symbolise leur appartenance
au « corps du Christ » que constitue l'Église.
La croix chrétienne est représentée sous diverses variantes :
- croix latine
- croix en tau ou croix de Saint-Antoine
- croix de saint André
- croix de saint Georges (croix rouge sur fond blanc)
- croix de saint Pierre (croix latine renversée utilisée pour le martyre de saint Pierre qui,
- selon la légende, par humilité envers Jésus le Christ ne s'est pas estimé assez digne
- pour mourir dans la même position que son Dieu)
- croix serbe
- croix papale
- croix grecque (les branches sont de même longueur et se croisent en leur milieu) +
- croix fleur-de-lysée
- croix fourchée ("Y", croix en tau dont la branche supérieure est brisée vers le haut)
- croix pointue (trois pattes plaine et une pointe/pique vers le bas)
- croix potencée ou croix scoute, (croix grecque avec des tau aux extrémités de chaque branche)
- croix ancrée (croix grecque avec des ancres aux extrémités de chaque branche)
- croix russe (croix latine avec une barre sur la branche inférieure)
- croix orthodoxe (croix patriarcale avec une barre sur la branche inférieure)
- croix tréflée ou croix de saint Maurice (croix grecque avec des trèfles aux extrémités de chaque branche)
- croix recroisetée (croix grecque avec des petites croix grecques aux extrémités de chaque branche)
- croix d'Anjou ou croix de Lorraine ou patriarcale
- croix de Malte
- croix de Jérusalem (croix potencée dont chaque région contient une croix grecque)
- croix occitane
- croix huguenote
- croix scandinave
- croix dominicaine
- croix pattée (croix dont les branches s'élargissent à leur extrémité en forme de patte
- (on dit aussi formé)) ✠
- croix arménienne (croix latine dont les branches ont deux branches
- à leur extrémité en forme de trèfles)
- croix celtique
Croix ansée
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%82nkh
L'ânkh ou croix ansée est utilisé fréquemment dans l'art égyptien,
en particulier dans les peintures des tombes ;
il apparaît souvent au bout des doigts d'unedivinité,
dans des images montrant les divinités de l'au-delà faisant
le don de vie à la momie de la personne défunte.
Dans l'art amarnien, la croix ansée est portée par les rayons solaires
(terminés par des mains), symbolique du soleil dispensant la vie sur Terre.
Ce symbole était souvent porté comme amulette par les Égyptiens, soit seul,
soit en association avec deux autres hiéroglyphes,
le sceptre ouas signifiant « force » et le hiéroglyphe symbolisant la « santé »,
l'ensemble |
|
ˁnḫ(=w), wḏȝ(=w), snb(=w)
étant une formule d'eulogie dans l'Égypte antique.
Svastika
Le svastika 卐 est un symbole que l'on retrouve en Eurasie, en Afrique, en Océanie,
aux Amériques (Amérique précolombienne chez les Mayas et amérindiens Navajos et kunas)
et en Extrême-Orient. Son apparition se fait dès l'époque néolithique où il apparait
dans la préécriture de la culture de Vinča.
On peut le décrire comme une croix composée de quatre potences prenant
la forme d'un gamma grec en capitale (Γ).
C'est l'un des plus anciens symboles de l'humanité que l'on retrouve sous plusieurs formes
dans la majorité des civilisations du monde, bien qu'il n’ait pas toujours la même signification.
Ce symbole est notamment utilisé en Asie
dans la symbolique jaïne, hindoue etbouddhique, en Chine pour symboliser l'éternité
et dans l'Asie bouddhiste.
Les différentes graphies inspirées de la forme du svastika ont pu naître indépendamment
les unes des autres, bien que certaines soient liés historiquement
(svastikas indien et bouddhique, svastikas indien et svastika du xxe siècle européen).
En Asie, et tout particulièrement en Inde, c'est toujours un symbole omniprésent.
Il symbolise, parmi d'autres sens, le très populaire dieu Ganesh et
est le symbole premier du jaïnisme, considéré par ses adeptes
comme le plus favorable de tous les symboles.
http://soutien67.free.fr/histoire/pages/antiquite/egypte.htm
Les Égyptiens étaient
polythéistes.
Des Dieux nombreux
et étranges
Les dieux des Égyptiens sont innombrables.
Vers 1365 avant J.-C.,
le Pharaon Aménophis IV (Akhenaton) a tenté d’imposer
un dieu unique, Aton, mais sans succès.
Les dieux ont une apparence étrange.
Certains sont représentés sous une forme humaine,
mais la plupart prennent un aspect animal ou portent une tête d’animal
sur un corps humain
Les aventures et les pouvoirs des dieux
Les dieux égyptiens ont des aventures que l’on appelle des mythes.
Le plus connu est le mythe d’Osiris. Osiris est un pharaon très aimé.
Il est tué par son frère Seth qui s’empare du trône.
Mais sa femme Isis lui redonne la vie et le conduit au royaume des morts
dont il devient le roi.
Son fils Horus le venge ensuite en renversant Seth.
L’histoire de l’Égypte commence avec Atoum, le Soleil.
Il s’était créé lui-même en sortant du grand océan primordial, le Noun.
Atoum créa Shou, divinité de l’air et Tefnout, divinité de l’humidité et des nuages. Shou et Tefnout formèrent le premier couple divin.
Sur ordre de Rê jaloux, Shou sépara Geb et Nout
(la terre et le ciel) pour mettre fin à leur étreinte.
Geb, Nout et Shou |
Anubis |
Les dieux protègent les hommes et assurent l’harmonie sur terre.
- Rê et Amon-Rê apportent la lumière et la chaleur ;
- Osiris défend les lois, protège les morts, et permet la renaissance de la végétation et de la crue ;
- Isis est la gardienne de la fécondité et des malades.
Mais si les hommes ne les satisfont pas, les dieux peuvent les abandonner et l’Égypte sombre alors dans le chaos.
Le culte rendu aux dieux
Pour éviter que le temps ne se dérègle, que la crue ne disparaisse, ou que la famine ne s’installe, les Égyptiens rendent un culte aux dieux.
Tous les Égyptiens font des offrandes, des prières et respectent de nombreuses interdictions, comme celle qui consiste à ne pas faire de tort à l’animal préféré du dieu.
Mais l’essentiel du culte a lieu dans des temples monumentaux
où seuls le Pharaon et les prêtres peuvent pénétrer.
La pesée des âmes : à gauche, le mort arrive accompagné d'Anubis. Sur le plateau gauche de la balance, le cœur du mort, siège de l’âme, placé dans un pot. Sur le plateau droit, la plume de justice, symbole d'innocence. Un monstre dévorera le cœur s’il est plus lourd que la plume.
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