COMMENTAIRES PERSONNELS :
QUAND J'AI TRAVAILLé DERNIèREMENT SUR LE SITE www.efforts.e-monsite.com, LE SITE DES DEUX DU SACRé COEUR, ET COMBIEN IL éTAIT IMPORTANT DE FAIRE SIGNER LE PACTE DU DIABLE AVEC LE SANG ET MIS PAR ECRIT !
C'EST POUR LA TRANSMISSION DU SOUFFLE PAR LES PERSONNES AUX AUTRES PERSONNES, MONASTèRES, LIVRES, ET AUJOURD'HUI DES FILMS !
POUR CELA, IL Y A TRANSMISSION DANS DES LIVRES, ET PUIS CELA DEVIENT RéALITé ! CELA EST REMARQUé AUSSI PAR LES SPéCIALISTES DU PHéNOMèNE OVNIS CONFER VIDéO !
http://efforts.e-monsite.com/pages/origine-du-sacre-coeur.html
Avec quel art et quelle persuasion elle peut remplir ce rôle, nul ne saurait en douter. Mais la Vie que vous faites paraître et qui se répand partout mettra en plein relief la méthode par laquelle on devient le disciple du Sacré Coeur.
Votre Marguerite-Marie a été « chargée d'office d'attirer toutes les âmes » au divin Coeur.
La Visitation a reçu la mission de le faire connaître, aimer, et de « distribuer aux autres » la « précieuse monnaie » de « ce trésor inépuisable » où « plus l'on prend, plus il y a à prendre. »
Vous remplirez ce rôle par votre livre et vous contribuerez à convaincre
les chrétiens et les chrétiennes de notre temps que le sacré Coeur de Jésus
« est la source de tous biens, qui ne cherche qu'à se « répandre et à se communiquer. »
Nul autre ne fait mieux connaître l'âme de la Bienheureuse, ses relations intimes avec Notre-Seigneur,
et l'esprit de la dévotion au Sacré Cœur, dont elle a été l'évangéliste et l'apôtre.
Je fais des voeux pour que ce livre se répande de plus en plus, pour apprendre aux âmes à aimer davantage et à mieux honorer
le Coeur sacré de Jésus.
Le Monastère de Paray-le-Monial était le berceau d'où allait partir, pour se répandre dans le monde, la dévotion an Sacré Coeur.
Obligée d'écrire par obéissance, elle écrit !
http://efforts.e-monsite.com/pages/divine-union.html
Heureusement, mon divin Maître le sait, si j'écris, c'est par obéissance d'abord, et ensuite par un ardent désir de prendre les âmes au charme d'un bien si élevé.
SUSPENSION DE TOUTES LES PUISSANCES HUMAINES QUAND UNION ET RAVISSEMENTS !!!
Il est à remarquer, du moins à mon avis, que cette suspension de toutes les puissances ne dure jamais longtemps; c'est beaucoup quand elle va jusqu'à une demi-heure, et je ne crois pas qu'elle m'ait jamais tant duré. Il faut l'avouer pourtant, il est difficile d'en juger puisqu'on est alors privé de sentiment.
L'oraison, avec ces alternatives, peut se prolonger et se prolonge de fait pendant quelques heures. Une fois enivrées de ce vin céleste qu'elles ont goûté, ces deux puissances font volontiers le sacrifice de leur activité naturelle, pour savourer un bonheur beaucoup plus grand; dans ce but, elles s'unissent à la volonté, et les trois puissances jouissent alors de concert. Mais cet état de suspension complète, sans que l'imagination, selon moi également ravie, se porte à quelque objet étranger, est, je le répète, de courte durée. J'ajoute que les puissances ne revenant à elles qu'imparfaitement, elles peuvent rester dans une sorte de délire l'espace de quelques heures, pendant lesquelles Dieu, de temps en temps, les ravit de nouveau en lui.
http://efforts.e-monsite.com/pages/sacre-coeur.html
Le Seigneur ajouta : « Si quelqu'un cherche dans ces pages les biens spirituels de son âme,
je l’attirerai tout près de moi, je prendrai part à sa lecture,
paraissant tenir ce livre dans mes mains.
Lorsque deux personnes lisent ensemble dans le même livre,
l'une semble respirer le souffle de l'autre.
De même j'aspirerai le souffle des désirs de cette âme et ils viendront émouvoir en sa faveur les entrailles de ma miséricorde ;
de mon côté, je lui ferai respirer le souffle de ma divinité,
et elle sera toute renouvelée intérieurement. »
Le Seigneur dit encore: «Celui qui dans une pareille intention transcrira les paroles de ce livre, recevra à chaque trait qui s'y trouve les flèches d'amour lancées vers lui par la douceur infinie
de mon Cœur sacré, et son âme éprouvera les plus ineffables délices. »
Puisque je désire voir ce livre écrit, pourquoi te troubler?
C’est moi qui stimule celle qui le compose ;
je l’aiderai fidèlement et je garderai intact ce qui est mon bien. »
Elle conforma alors sa volonté au bon plaisir de Dieu et lui dit : « Très aimé Seigneur, quel titre voulez-vous donner à ce livre ? »
Le Seigneur répondit :
« Ce livre, qui est mien,
s'appellera LE HERAUT DE L’AMOUR DIVIN,
parce qu'il donnera un certain avant goût de mon surabondant Amour. »
Remplie d'admiration, elle dit encore : « Puisque ceux qui sont envoyés comme ambassadeurs ou hérauts jouissent d'une grande autorité, quelle autorité daignerez-vous accorder à ce livre ? »
Le Seigneur répondit : « Dès son enfance je l'ai portée et élevée dans mes bras, la conservant immaculée jusqu'à l'heure où, de sa libre volonté, elle s'est unie à moi ; alors je me suis donné tout entier à elle avec ma vertu divine, me livrant à mon tour à ses embrassements.
Et le Seigneur ajouta : « Si elle doit parler à quelqu'un, qu'elle attire en son âme par un profond soupir le souffle de mon divin Cœur, et tout ce qu'elle dira portera le cachet de la certitude. Elle ne pourra se tromper ni tromper les autres; bien plus, tous connaîtront par ses paroles les secrets de mon Cœur. »
http://efforts.e-monsite.com/pages/pacte-ecrit-et-signe-avec-le-sang-les-saignees.html
C'était alors qu'il me consolait par ses familiers entretiens, me disant une fois :
— Je vous veux dire qui je suis, ma chère Soeur, afin que vous connaissiez l'amour que votre Époux vous porte.
Je suis un des sept Esprits qui sont les plus proches du trône de Dieu,
et qui participent le plus aux ardeurs du sacré Cœur de Jésus-Christ....
Cette âme héroïque devait clôturer l'année 1678 par un acte solennel.
Notre-Seigneur, comme souverain Sacrificateur, lui commanda de faire en sa faveur un
testament ou donation entière, sans réserve et par écrit,
de tout ce qu'elle pourrait faire et souffrir, de toutes les prières et biens spirituels que l'on ferait pour elle, pendant sa vie et, après sa mort.
Le divin Maître entendait que la chose fût faite en règle.
Il fit demander par Soeur Marguerite-Marie à la Mère Greyfié si elle voulait bien servir
de notaire en cette affaire — qu'il se chargeait de la payer solidement.
Si la supérieure refusait, la Soeur devait s'adresser au Père de la Colombière. Mais la Mère Greyfié, après avoir pris le temps de réfléchir, s'y prêta très volontiers.
Elle écrivit donc elle-même la pièce suivante :
« Vive Jésus dans le coeur de son épouse, ma Soeur Marguerite-Marie, pour laquelle, et en vertu du pouvoir que Dieu m'a donné sur elle,
j'offre et dédie et consacre purement et irrévocablement au sacré Coeur de
l'adorable Jésus tout le bien qu'elle pourra faire pendant sa vie, et celui qui sera fait après sa
mort, pour elle, afin que la volonté de ce Coeur divin en dispose à son gré et selon son bon
plaisir et en faveur de quiconque il lui plaira, soit vivant ou trépassé-; ma Soeur Marguerite-
Marie protestant qu'elle s'en dépouille volontiers généralement de tout, excepté la volonté
d'être à jamais unie au divin Coeur de son Jésus, et l'aimer purement pour l'amour de lui-
même.
En foi de quoi, elle et moi signons cet écrit, le dernier jour de décembre 1678. Soeur Péronne-
Rosalie Greyfié; à présent supérieure, et de laquelle ma Soeur Marguerite-Marie demandera
tous les jours la conversion à ce Coeur divin. et adorable, avec la grâce de la pénitence finale.
La Soeur ayant présenté cet écrit à Notre-Seigneur,il lui en témoigna un grand agrément et
lui dit que, puisque son amour l'avait dépouillée de tout, il ne voulait pas qu'elle eût d'autres
richesses que celles de son sacré Coeur et il lui en fit une donation à l'heure même,
me la faisant écrire de mon sang, selon qu'il la dictait,
et puis je la signai sur mon coeur avec un canif,
duquel j'y écrivis son sacré Nom de Jésus, » ajoute l'Autobiographie (1).
Consultons le Mémoire des Contemporaines. Nous y lirons ce qui suit :
« Après cette donation faite, je la signai», dit-elle,
« sur mon coeur, comme mon divin Maître le voulait, et je la signe
encore ici : Soeur Marguerite-Marie, disciple du divin Coeur de L'adorable Jésus, lequel
s'étant donné à moi par la sainte communion, il me fit lire dans ce Coeur adorable ce
qui était écrit pour moi.
— Ce qui suit est écrit de son sang :
— Je te constitue héritière de mon Coeur
et de tous ses trésors pour le temps et l'éternité, te permettant d'en user
selon ton désir, et te promets que tu ne manqueras de secours que lorsque mon Coeur
manquera de puissance. Tu en seras pour toujours la disciple bien-aimée,
le jouet de son bon plaisir et l'holocauste de ses désirs, et lui seul sera le plaisir de tous tes
désirs, qui réparera et suppléera à tes défauts, et t'acquittera de tes obligations (2). »
Il a besoin d'être étudié pour être bien compris. En voici 'l'enchaînement logique. Soeur Marguerite-Marie présente à Notre-Seigneur le testament en question et, dans un transport d'amour,
grave le saint Nom de Jésus sur son coeur.
Puis, elle signe en ces termes la pièce écrite par la Mère Greyfié : « Soeur Marguerite-Marie, disciple du divin Cœur de l'adorable Jésus. » Enfin, Notre-Seigneur, lui fait lire ce qu'il y a d'inscrit pour elle dans son sacré Coeur et lui fait écrire de son sang la donation ci-dessus :
« Je te constitue héritière,... » etc. L'Autobiographiecontinue :
« Après quoi, il me dit qu'il prendrait soin de récompenser au centuple tous les biens que l'on me ferait, comme faits pour lui-même, puisque je n'avais plus rien à y prétendre ; et que, pour récompense
à celle qui avait dressé ce testament en sa faveur,
il lui voulait donner la même récompense qu'à sainte Claire de Montefalco ; et que pour cela, [il] ajouterait à ses actions les mérites infinis des siennes,
et par l'amour de son sacré Coeur, il lui ferait mériter la même couronne. Ce qui me donna une grande consolation, parce que je l'aimais beaucoup, à cause qu'elle nourrissait mon âme abondamment du pain délicieux de la mortification et humiliation, qui était si agréable au goût de [mon] souverain Maître (1). »
Ce testament était daté du 31 décembre 1678. Presque à la même date, le Révérend Père de la
Colombière, qui venait de se voir frustré de la gloire du martyre, mais avait, du moins, conquis la palme de confesseur de la foi, injustement accusé et banni d'Angleterre, reprenait le chemin de la France. Cette disgrâce entrait dans les desseins de Dieu, pour reconduire momentanément le saint jésuite dans la petite ville charolaise, à une époque où sa présence était singulièrement opportune.
La Mère Greyfié avait alors des craintes au sujet
de la Soeur Alacoque.
Elle les soumit au Père et voici comment il l'éclaira et la rassura : « Il me fit connaître qu'il n'hésitait pas de croire que ce qui se passait en cette chère Soeur ne fût vraies grâces de Dieu.
— Mais qu'importe, me dit-il, quand ce seraient
des illusions diaboliques,
pourvu que cela produise en elle les mêmes effets que font les grâces du Seigneur ?
Il n'y a nulle apparence à cela, me dit-il encore,
parce qu'il se trouverait que le diable,
en la voulant tromper, se tromperait lui-même,l'humilité, la simplicité, l'exacte obéissance
et la mortification n'étant point les fruits de l'esprit de ténèbres (1). »
Si ce retour passager de l'éminent religieux à Paray fut une consolation pour notre Sainte, il lui devint aussi l'occasion de manifester une fois de plus sa vertu consommée. Le Révérend Père souhaitant parler à Soeur Marguerite-Marie au confessionnal, pour être en particulier, la Mère Greyfié le permit très volontiers. Mais elle apprit bientôt qu'on s'en était fait de la peine » — peine
Et le Père de la Colombière, que, pensa-t-il de Soeur Marguerite-Marie ?
Le 23 mars 1679, il écrivait à la Mère de Saumaise : « Passant à Paray, je n'ai pu voir qu'une fois la Soeur Alacoque, mais j'ai bien eu de la consolation en cette visite. je la trouvai toujours extrêmement humble et soumise, dans un grand amour de la croix et du mépris.
Voilà des marques de la bonté de l'esprit qui la conduit,
et qui n'a jamais trompé personne (2). »
SUITE !
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