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PREUVES PHYSIQUES DES ENLèVEMENTS : LES IMPLANTS !? SIGNES MINEURS ? SUBSTANCES FLUORESCENTES !?


10ème implant extraterrestre http://www.dailymotion.com/video/x9290k_10eme-implant-extraterrestre_news

http://ovnis-direct.com/implants.html

Implants

En ce qui concerne les implants, ils se trouvent généralement en dessous du pénis, à l'intérieur des fosses nasales, dans l'œil,  dans la main ou le pied et d'origines métalliques ou pas.

En 1995, des démarches sont entreprises pour extraire et analyser un implant, et cette opération est confiée au Dr Roger Leir, qui en effectuera d'autres par la suite.
Voici ses constatations :
Les implants sont très bien tolérés par l'organisme (aucun rejet) car ils sont recouverts de tissus biologiques.
Une quantité de cellules nerveuses anormale se trouve autour des objets.
Ils contiennent des matériaux que l'on trouve fréquemment dans les météorites.

D'autres analyses ultérieures ont montré qu'il est probable que les membranes biologiques de l'implant puissent être constituées à l'aide de la propre peau de l'abducté.

Quels peuvent être les origines de ces implants ?

À supposer qu'ils soient d'origines humaines, ils seraient issus d'une technologie avancée développée et testés en secret.
Ce dispositif aurait soit pour but de suivre et localiser les enlevés soit de contrôler leurs mouvements et leurs fonctions biologiques.

Le Dr Leir en Californie a procédé à l'ablation de 11 corps étrangers. Ses implants sont en forme de T, triangle, pastille, microtige, microbilles carbonées, alliage de métaux et de métalloïdes de composition isomérique exotique, Al, Fe, Ca, Ba principalement, tous de nanostructure complexe.
Ils sont dans le tissu cellulaire profond au contact de néoneurones, de terminaisons sensorielles, dont la présence en profondeur est aberrante. L'objet est toléré, sans réaction inflammatoire, sans enkystement fibroscléreux calcifié, grâce à une membrane dure insécable au scalpel, invisible aux Rayon X, faite de protéines de l'hôte de combinaison jamais rencontrée jusqu'ici, kératine coagulât protéinique.
On ne trouve pas de cicatrice de porte d'entrée, mais une cupule par rétraction de la peau, en regard de l'implant, dû à une fibroélastose solaire reliant l'objet à la peau...

Le Dr Roger K. Leir, docteur en podiatrie médicale, effectue depuis 1995 des opérations afin d'extraire des implants du corps des abductés. Selon lui, il ne fait aucun doute que le phénomène existe, mais ne trouve pas d'explication scientifique. Les premiers implants découverts le furent par hasard, lors de radiographies.
L'extraction a pour but de déterminer si l'objet est de nature biologique humaine ou importée de l'extérieur. L'hypothèse de corps étrangers, pénétrant les victimes à leur insu, est vite écartée par l'absence d'infection et de cicatrice ainsi que la présence d'un réseau nerveux autour de l'implant. Leur composition atomique, qualifiée dans certains cas de nature mixte "biologique et minérale", ne correspond pas non plus à un phénomène naturel : calcium, aluminium, baryum, europium, ruthénium, samarium, les trois derniers étant très rares sur Terre et plutôt trouvés au cœur des météorites.
Placée dans différentes parties du corps, mais presque toujours du côté du coeur, leur taille est comprise entre 1 et 10 mm. En forme de T, de triangle ou de microbille, ils sont recouverts d'une membrane à base de trois protéines, jamais assemblées entre elles dans le corps humain. Si la médecine était capable de reproduire cela, tous les problèmes de rejets de greffe seraient résolus.
Les implants peuvent par simple pression être déplacés sur quelques centimètres, ont des propriétés magnétiques à l'intérieur du corps des patients, ou font preuve de fluorescence sous lumière UV.
Ces implants semblent pouvoir être reliés au système nerveux de l'abducté, certains patients ont ressenti une intense douleur lors de l'extraction.
 
 

L’un des domaines d’étude les plus controversés, mais important dans l’ufologie actuelle, est l’extraction chirurgicale, suivie d’analyse en laboratoire, d’implants supposés d’origine non-humaine (ou “ alien ” en empruntant le mot anglais), trouvés dans le corps de personnes ayant eu une expérience ovni de quelque sorte, peut-être un enlèvement à bord d’un ovni.

Jusqu’en 1995, peu de tentatives avaient été faites, et aucun résultat décisif n’avait été obtenu pour “ prouver ” l’origine alien d’un implant extrait.. Le cas le plus connu est l’histoire bizarre du supposé  implant de Richard Price, étudié pendant près de cinq ans par le physicien réputé David Pritchard, professeur au MIT (Massachussets Institute of Technology). Après avoir mentionné, au début, sa nature métallique, il avait finalement diagnostiqué…une fibre de coton (voir Alien Discussions. Proceedings of the Alien Study Conference, au MIT en 1992, pp. 279 à 295).

La question des implants rebondit en 1995 quand un podologue californien (un chirurgien des pieds aux Etats-Unis), le Dr Roger K. Leir, accepta d’extraire un implant repéré par radiographie dans le pied d’un enlevé supposé (on dit aussi “ abducté ”, de l’anglais abductee), un cas qui lui fut présenté par l’enquêteur texan Derrel Sims. De 1995 à 2001, dix opérations furent réalisées, soit par le Dr Leir lui-même, soit par d’autres chirurgiens lorsque l’implant se trouvait dans d’autres endroits du corps. Plusieurs analyses de laboratoire ont été accomplies, dont les résultats ont été rendus publics en partie. Certaines opérations et analyses d’implants ont été patronnées et subventionnées par le National Institute for Discovery Science (NIDS), un groupe de recherche privé créé par Robert Bigelow à Las Vegas, doté d’un groupe de conseillers scientifiques réputés. Aucun résultat décisif n’a été encore publié, mais les données rassemblées par le Dr Leir et ses partenaires dans cette recherche sont déjà assez impressionnantes pour mériter l’attention de tous les chercheurs sur les ovnis..

 

Le Dr Roger Leir a été assailli de critiques dures et répétées dès qu’il a commencé à parler publiquement de ses opérations d’implants (voir la note ci-dessous sur cet aspect de l’histoire). J’ai eu la chance de rencontrer le Dr Leir en septembre 1999, à la conférence internationale de Leeds (Grande-Bretagne) à laquelle j’avais été invité comme conférencier. J’étais justement en train de lire son livre, et nous avons dîné ensemble. Je peux témoigner que j’ai rencontré un homme sympathique et crédible, bien différent de certaines critiques ad hominem faites contre lui.

 

Une critique sérieuse, cependant, est que lui et ses collègues n’ont pas encore écrit d’article scientifique, accepté dans une revue reconnue. Il est vrai que c’est une sérieuse lacune, mais il apparaît aussi qu’un volume significatif d’informations crédibles est disponible sur ces opérations, sur les objets extraits, sur les supposés abductés et leur histoire personnelle. Essayons de résumer brièvement quelques informations de bases sur tous ces points. Dans une note jointe, le Dr Jacques Costagliola fait une évaluation plus technique et détaillée de ces données.

 

 

 

Les opérations

 

Voici la liste des opérations d’extraction d’implants supposés, réalisées soit par le Dr Leir (pour les implants situés dans le pied) ou par d’autres chirurgiens avec son assistance. Cette liste provient du livre du Dr LeirThe Aliens and the Scalpel, publié en 1998, et de plusieurs articles pour les opérations postérieures au livre (voir liste des articles ci-dessous). 

 

Selon le tableau 1 du livre (p. 164), huit opérations ont eu lieu de 1995 à 1998. (la liste résumé qui suit indique la date, le prénom de l’opéré(e), l’emplacement et la forme de l’implant). La plupart des noms sont des pseudonymes donnés par le Dr Leir dans son livre.

 

Première série de trois opérations, avant l’entrée en scène de NIDS

 

  1. 19-8-95, Patricia. Deux implants dans l’orteil gauche, tous deux métalliques, l’un en forme de “pépin de cantaloup”, l’autre en forme de “ T ”. (Le cantaloup est un melon à côtes rugueuses).

  2. 19-8-95, Paul. Main gauche, métallique, “pépin de cantaloup”

  3. 2-1-96, Babs. Epaule gauche, petite boule “élémentaire, solide

    Deuxième série, patronnée et payée par NIDS

     

 

  1.  18-5-96, Annie, jambe gauche, petite boule “ élémentaire, solide ”

  2. 18-5-96, Doris. Jambe gauche, petite boule “ élémentaire, solide ”

  3. 18-5-96, Don. Mâchoire gauche, triangle métallique

  4. 12-1-97, Lyla. Talon gauche, fragment de verre (origine terrestre, écarté)

  5. 17-8-98, Pablo. Main gauche, métallique, de nouveau en forme de “ pépin de cantaloup ”, comme d’autres précédemment (filmée par NBC et diffusée en février 1999)

    1. 5-2-2000, Tim Cullen (vrai nom). Poignet gauche, métallique, “pépin de melon” (cas présenté au Congrès OVNI de Laughlin en mars 2000 avec la présence de Tim Cullen. Présenté dans le Mufon UFO Journal de mai 2000, et au symposium du Mufon de juillet 2000, à Irvine en Californie (voir les actes du symposium, disponibles au Mufon). Etant invité comme conférencier à cette conférence, j’ai pu rencontrer Tim, et il m’a semblé être une personne crédible. C’est un homme robuste, en bonne santé et de bon caractère, patron d’une petite entreprise de bâtiment, et il n’a certainement pas besoin de ce genre de publicité pour son métier.

    2. 29-10-2001, hôtesse dans un importante compagnie aérienne. Petit fragment dans le bras droit, de la taille d’un pois. Cas présenté au congrès OVNI de Laughlin, en mars 2002. Rapporté dans le UFO Magazine britannique de mai 2002 et dans le Mufon UFO Journal de novembre 2002. Présenté également à la conférence internationale de Leeds, 20-22 septembre 2002. Selon le Dr Leir, cet objet est un cas à part, “ totalement biologique ”.

    Les implants

    Deux séries de tests ont été réalisées en 1998 sous la direction de NIDS, plus précisément du colonel John Alexander qui était un membre important de son équipe de conseillers scientifiques (le colonel Alexander a fait une longue carrière dans des domaines de recherches secrètes, notamment au Laboratoire National de Los Alamos). Les tests ont été exécutés d’abord au Laboratoire National de Los Alamos et ensuite au New Mexico Tech.

    Dans son livre, dans ses articles et conférences, le Dr Leir mentionne d’autres études de laboratoires, mais pour lesquels aucun résultat précis n’a encore été publié.

    Nous avons d’abord les résultats des analyses faites à New Mexico Tech en 1996, payées pas NIDS, publiées sur son site web, à :http://www.nidsci.org/articles/metal/metal.html et reproduites ici, grâce à la contribution du Dr Leir.

    Ces analyses montrent une composition métallique remarquable et inusitée des fragments étudiés. 

    En plus de ce document, nous avons la “ lettre d’opinion ” de l’ingénieur métallurgiste qui fit les tests, M Paul A. Fuierer. Elle n’est pas sur le site de NIDS, mais elle fait partie du rapport envoyé par le Dr Leir. Elle est également reproduite dans le livre du Dr Leir, avec ses commentaires ainsi que sur son propre site web, à : http://alienscalpel.com/NMTech-opinion.htm.

    Il paraît important de signaler ici que le métallurgiste a donné en fait deux opinions successives. Quand il a donné la première, il n’avait pas été informé de l’origine des fragments. Il exprima l’opinion que leurs composants métalliques étaient analogues à ceux que l’on trouve dans les météorites. Lorsqu’il reçut cette première lettre d’opinion, le Dr Leir fut si surpris qu’il appela le métallurgiste et lui révéla que les échantillons avaient été extraits de corps humains. M Fuierer, qui n’a pas caché son scepticisme sur les ovnis, donna alors une opinion complémentaire. Il dit qu’un mélange de fer et d’argent enfoui dans le corps pouvait provoquer une réaction de calcification, d’où il résulterait un matériau comparable aux céramiques utilisées en médecine et en dentisterie. Mais le Dr Leir note dans son livre que de tels matériaux ne sont plus utilisés car ils produisent une “ énorme réaction d’inflammation ”. Cependant, aucun implant n’avait produit une telle réaction. Le métallurgiste ne savait pas cela et il ne savait pas non plus que, comme dit le Dr Leir : “ une membrane biologique étrange, d’aspect grisâtre et dense, recouvrait les spécimens. De plus, il n’y avait pas de trace d’une porte d’entrée ” (p. 170 de son livre).

    Cette lettre d’opinion est aussi sur le site web du Centre d’information sur les enlèvements (Abduction Information Centre, AIC) dirigé par John Velez, sur lequel on trouve des critiques de l’analyse de New Mexico Tech, à :  http://www.virtuallystrange.net/aic/pa2.htm

    En ce qui concerne les analyses faites à Los Alamos, il semble qu’elles soient présentées seulement, et très brièvement, dans le livre du Dr Leir, qu’il a d’ailleurs publié à sa seule initiative. Il est important de souligner ici que, dans l’accord initial entre NIDS et l’équipe Leir-Sims, il était entendu que NIDS publierait un article scientifique (selon Leir dans son livre).

http://www.neotrouve.com/?p=799

Abductions et Implants Extra-Terrestres : des preuves physiques

Depuis 1995, une dizaine de personnes aux Etats-Unis ont subi une opération chirurgicale destinée à retirer de leur corps de minuscules et mystérieux « objets ». Le Dr Roger K. Leir, qui a pratiqué ces extractions pense avoir entre les mains les fruits d’une technologie non humaine. Au yeux de certains,
ces objets seraient la preuve d’une intervention extraterrestre.

Derrel Sims, un enquêteur américain, a découvert en utilisant une lumière UV sur plusieurs abductés des restes de substance sous-cutanée fluorescente à différents endroits de leur corps. Cette même substance fluorescente a été découverte sur des animaux mutilés aux USA, ces cas ne trouvant toujours pas d’explication.
Le Dr William C. Levengood, biophysicien, a examiné en 1997 l’habitat d’une femme ayant vécu plusieurs enlèvements. Un matin, elle le contacte, un mystérieux rayon lumineux étant apparu dans sa chambre pendant la nuit. Levengood relève des échantillons de poussière là où le rayon s’était posé. À l’aide d’un microscope, il y découvre de surprenantes particules en verre, d’une taille de 1 à 25 microns, à l’aspect sphérique ou cristallin. Ces microparticules de verre ont par la suite été trouvées dans toutes les pièces des logements d’abductés, mais rien de semblable n’a pu être décelé chez des personnes n’ayant aucune relation avec le phénomène ovni ou celui des enlèvements.

Extractions d’implants
Le Dr Roger K. Leir, docteur en podiatrie médicale, effectue depuis 1995 des opérations afin d’extraire des implants du corps d’abductés: il certifie que le phénomène existe, mais ne trouve pas d’explication scientifique. Les premiers implants découverts le furent par hasard, lors de radiographies.
L’extraction vise à déterminer si l’objet est de nature biologique humaine ou importé de l’extérieur. L’hypothèse de corps étrangers, pénétrant les victimes à leur insu, est vite écartée par l’absence d’infection et de cicatrice ainsi que la présence d’un réseau nerveux autour de l’implant. Leur composition atomique, qualifiée dans certains cas de nature mixte « biologique et minérale », ne correspond pas non plus à un phénomène naturel : calcium, aluminium, baryum, eu-ropium, ruthénium, samarium, les trois derniers étant très rares sur Terre et plutôt trouvés au coeur des météorites. Placés dans différentes parties du corps, mais presquet ouiours du cote du cœur, leur taille est comprise ente 1 et 10 mm.
En forme de T, de triangle ou de microbille, ils sont recouverts d’une membrane à base de trois protéines, jamais assemblées entre elles dans le corps humain; si la médecine était capable de la reproduire, tous les problèmes de rejets de greffes seraient résolus. Les implants peu-vent par simple pression être déplacés sur quelques centimètres, ont des propriétés magnétiques à l’intérieur du corps des patients, ou font preuve de fluorescence sous une lumière UV.
Preuve s’il en est que ces implants peuvent être reliés au système nerveux de l’abducté, certains patients ont ressenti une intense douleur lors de l’extraction.

Conclusion : selon le Dr Leir, nous tenons peut être là la preuve physique qui indiquera que l’humanité a eu des interférences avec des extraterrestres. Quant aux motivations, la seule chose que nous puissions faire, de façon scientifique, est de proposer certaines théories. Elles devront être testées et démontrées dans les laboratoires. L’une de ces théories est qu’il s’agit de dispositifs permettant de suivre un individu, comme nous le faisons avec des animaux, ou de contrôler son comportement.

Nexus 69 Juillet Aout 2010

 
 SUITE ! 
 
 
 
 
 
 
 
 

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